L'ordre de mission

La nuit était avancée, et un combat de couloir faisait toujours rage à l’intérieur de la forteresse de Picourt-les-Ours. Une bande de malandrins s’étaient infiltrés et avaient attaqué le seigneur des lieux dans la bibliothèque.

Bien que profitant d’un effet de surprise, le groupe d’assassins s’était heurté à forte partie et avaient été repoussés à l’extérieur de la bibliothèque, dans la salle à manger.
Le présumé chef de ces bandits avaient notamment été obligé de battre en retraite et se tenait dans la salle à manger, Adelheid et Lothar au cors-à-corps contre lui. Sylas était toujours en soutien derrière, son pistolet chargé.

Lothar et Adelheid distinguaient clairement 7 personnes encapuchonnées, toutes armes sorties, qui se massaient derrière leur chef. Adelheid, plus concentrée que Lothar, distingua dans l'embrasure de la porte qui donnait sur la cuisine (dans le flanc gauche des ennemis), la silhouette massive de l'Urza recruté plus tôt dans la journée, qui venait d'apparaître. A côté de lui, le gnome.

[Résolution de combat en une phase. Vous me proposez donc des actions en ATTAQUE, DEFENSE et SOUTIEN]
[A vos claviers!]

ATTAQUE : 16 - Arme mécanique

Sylas garde son arme de poing levée, prêt à tirer.

DEFENSE : 23 - Evitement

Il reste sur le qui-vive  et se rapproche de la porte pour élargir son champ de vision.

SOUTIEN : 16 - Prestidigitation

Bien que confiant quant à la réactivité de son doigt sur la gâchette, il se prépare également à faire usage de sa magie pour palier à toute situation inattendue.

ATTAQUE : 19 - Cbt rapproché (prestesse)
Adelheid comptait sur Lothar pour faire l'essentiel des dégâts. Elle se servit donc de sa dague qu'elle utilisa pour planter son adversaire avec une grande rapidité.

DEFENSE : 25 - Parade (que je n'ai pas)
Malgré sa maîtrise assez médiocre du bouclier, Adelheid se servit de celui qui lui avait été offert en guise de protection. Malgré son poids, la jeune fille s'en sortait bien.

SOUTIEN : 22 - Folle magie
Malgré qu'elle évitait d'habitude à utiliser la magie face à son seigneur ou les gens du château, Adelheid se servi de sa magie pour transférer les éventuelles blessures qui furent infligées à Sire Lothar ou Sylas sur son ou ses adversaires directs.

[Pouet les chouquettes ! la réponse arrive ; pour vous permettre de comprendre le fonctionnement, je vous détaille cette fois-ci mon fonctionnement]

[Sire Lothar lance un test de perception en réaction ; résultat : 9 ; échec]
[Se croyant seul avec son écuyère et Sylas (il n'a pas vu le gnome et l'Urza), Lothar va effectivement partir sur un mode offensif, afin de repousser ses assaillants.]

[Lothar : ATTAQUE (réserve physique) : 30 (le cochon !) - Combat choc : Lothar utilisa toute sa masse pour se ruer sur ses adversaires en donnant au jugé des coups de pommeau de sa dague ; l'objectif est d'essayer d'en faire tomber et de casser leur organisation]
[Lothar : DEFENSE : aucun, Lothar n'a pas son armure et n'utilise pas la parade avec une dague. De toute façon, il est en pur offensif]
[Lothar : SOUTIEN : 16 - Stratégie : Lothar, héros de guerre plutôt par ses qualités personnelles de guerrier que par son sens tactique, va tenter de peser sur les bandits les plus maigres pour amorcer sa stratégie domino.]

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[Ici, je fais normalement les résolutions pour les autres PNJs, je résume]
[Akshan (l'Urza) : ATTAQUE : aucun - POSTURE SOUTIEN DEFENSIVE : Astromancie-Géomancie : il tente de faire léviter des objets en métal (chandeliers, fers de cheminée) pour venir parer les attaques adverses grâce au magnétisme de la géomancie ; résultats : 10 & 15]
[Grimm (le Gnome) : ATTAQUE : aucun - DEFENSE : se met à couvert sous une table : 12 - SOUTIEN : aristocratie : tente d'intimider les ennemis en gueulant que les serviteurs sont en train d'arriver : 25]

[Les ennemis (en groupe) : ATTAQUE : tentent de larder Lothar (c'est l'objectif de base) : 27 (20 pour le chef +7 soutien de ses sbires) ; DEFENSE : tentent de repousser Lothar qui est sacrément lourd putain ! : 15 (8 +7) ; SOUTIEN : tentent de se reformer en cercle défensif : 13 (6+7)]

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[VOILA la résolution RP, celle que vous aurez toute seule à partir de maintenant ]

Les bandits eurent affaire à trop forte partie pour eux...

Une mêlée féroce s'engagea,qui ne fut pas à l'avantage des malandrins. Les premiers à tomber furent le chef des bandits et un grand homme en noir portant un gourdin clouté. Ce dernier fut lardé de deux coups secs dans le foie, et s'écroula en hurlant en se tenant le côté, sa cirrhose se répandant sur le parquet [pour explication : 19 d'attaque d'Adelheid contre une défense de 15 pour les bandits)].

Le flanc droit du chef des bandits ouvert, Lothar s'engagea dans la brêche moyennant un coup de coude dans les côtes du chef, et mis à terre deux bandits, en estourbissant un troisième d'un coup de pommeau sur le cassis [résolution : 30 vs 15].

Laissant le champ libre à Sylas, les dormeurs de l'étage furent réveillés par une détonation. C'est à ce moment précis que le chef des bandits mourut, d'une balle dans le coffre [résolution 16 vs 15].

Lothar se fit à son tour larder de quelques coups de dague qu'Akshan ne put empêcher [résolution 27 (bandits) vs 10 (Akshan)], qui ne vinrent pas entamer sa détermination.

Celle des malotrus néanmoins fut largement entamée par la mort de deux de leurs compagnons et le coup de bluff du gnome, et commencèrent à prendre la fuite.

[Fin du combat, je vous laisse repasser à la narration classique.]
[Les résolution étaient simples ici et les ennemis mourraient vite : c'est cadeau, car le combat avait assez duré. Les futurs combats pourront être plus ardus !]

Sylas, confiant quant à la réaction de la garde suite à ce boucan, décida de ne pas se précipiter à la poursuite des fuyards et préféra constater les dégâts que cette bataille aura causés.

Le majordome commença par ranger promptement son revolver dans sa veste puis passa la porte de la salle à manger afin de se rapprocher de ses compagnons et découvrit la scène dans son intégralité. Il sortit un mouchoir blanc de sa poche et étouffa un haut-le-coeur en le plaquant contre sa bouche.

Sylas : "Je crois que jamais je ne m'habituerai à ce genre de spectacle... C'est absolument répugnant !"

Puis se rapprochant de la jeune Adelheid, il ajouta :

Sylas : "Et vous l'êtes tout autant ! Quelle idée de vous jeter ainsi dans la mêlée !"

Il commença machinalement à essuyer avec son mouchoir le visage maculé de sang de la fille.

Sylas : "Je ne comprends pas votre obstination à apprendre l'art de l'épée, c'est bien trop salissant et dangereux pour une demoiselle de votre rang ! Ah si votre père vous voyait dans cet état ! ..." [Et il continue jusqu'à ce que quelqu'un le coupe.]

Adelheid se laissa faire. Encore trop abasourdie par la violence de la bataille.
Elle laissa Sylas essuyer son visage... Pour elle, elle n'était plus une enfant, mais une aura bienfaitrice se dégageait de son majordome.

Evidemment, elle ne répondit pas à la question. Sylas avait pris cette habitude et elle savait que c'était sa façon à lui de la protéger de la folie de ce monde.

Au bout d'un moment, à cause des pressions répétées avec son mouchoir pour nettoyer son visage, elle commença à grimacer, comme une enfant qui commencerait à perdre patience... Rien de bien inquiétant pour un homme aussi professionnel que lui.

Akshan s'était rapproché, après avoir échangé un regard entendu au gnome qui lui, était parti cueillir les fuillards.

Lorsqu'il entendit le ton outré de Sylas, il se mit à pouffer.
Sylas : "Je crois que jamais je ne m'habituerai à ce genre de spectacle... C'est absolument répugnant !"
Akshan : "Ahah ! Vous dites cela tout en portant un pistolet à la ceinture."

Lothar précisa, comme pour lui même et à l'adresse des malandrins : "Merde ! Les cons !"

L'Urza ne se formalisa pas outre mesure de la vulgarité de son employeur, ni de la réaction originale du majordome qui se mit à éponger le visage d'Adelheid. Il passa d'ailleurs derrière lui et lui adressa une tape amicale sur l'épaule, qui se devait vouloir réconfortante. Il adressa dans le même temps un sourire et un clin d'oeil à l'écuyère.

Puis, il se dirigea vers Lothar.
Akshan : "Seigneur, si notre plan à fonctionné, les survivants tombent dans nos filets à l'heure actuelle. Vous devriez aller vous reposer, je vais m'occuper de leur faire cracher le nom de leur employeur. Sauf si vous avez déjà une idée ?"

Lothar ne répondit que par un grognement. Il été blessé. Légèrement, mais blessé tout de même.

Adelheid eut un frisson et tenta de réprimer un sentiment de dégoût face au clin d’œil de l'Urza. Chose que ne passa pas inaperçu au regard de Sylas, fort bien habitué aux réactions de la jeune fille.

Sylas ne releva pas le frisson de la jeune fille et se tourna vers Lothar en rangeant son mouchoir taché dans l'une des poches de son pantalon.

Sylas : "Eh bien, cela faisait longtemps que je n'avais pas eu à me battre à vos côté et encore bien plus longtemps que je n'avais pas vu un simple brigand réussir à vous blesser ! Sauf votre respect, Monsieur, vous vieillissez."

Il lança un sourire à Lothar tout en s'en approchant pour observer la plaie.

Sylas :"Cela n'a pas l'air très profond, voulez-vous que je fasse tout de même venir un soigneur ? De mon humble avis, un peu d'alcool et un linge propre pourraient suffire."

En entendant Sylas, la jeune fille se sentit soulagée de ne pas avoir à utiliser sa magie.
Elle alla prêt de son maître pour constater la blessure et ramasser ses affaires qu'il aurait pu égarer dans la bataille. Elle se tenait à disposition de ce dernier, comme le voulait le protocole.

Sylas : "Cela n'a pas l'air très profond, voulez-vous que je fasse tout de même venir un soigneur ? De mon humble avis, un peu d'alcool et un linge propre pourraient suffire."
Lothar : "Grmmbllrmbll ... Va pour l'alcool, ça nettoie le corps et l'esprit. Mais pas trop, demain, il faut tenir à cheval ! Vous, là (il s'adressait à l'Urza, dont il avait visiblement oublié le nom), vous êtes arrivés à point nommé, c'est bien. Assurez-vous que nos invités surprises dorment au frais à la cave ce soir et faîtes moi venir mon chef de la milice, si vous le retrouvez en vie."

Puis, il se tourna vers Sylas et Adelheid : "Allons. A la bibliothèque, Adelheid nettoiera la maladresse de ces malandrins tandis que nous nettoierons notre mauvaise humeur, Sylas et moi !"

Il enjamba un mort et, juste avant d'entrer dans la bibliothèque, il se retourna d'un air pensif et dit : "Ah oui ! il faudra penser à s'occuper de déblayer tout ça avant demain matin. Sylas, vous mettrez des larbins de confiance sur le coup."

Il pénétra dans la bibliothèque et se rendit au niveau d'un petit guéridon, sur lequel était posé une bouteille de prune à l'eau-de-vie. Il en servit deux verres et alla s'asseoir dans son fauteuil en maugréant.

La jeune fille s'exécuta... Non pas par plaisir mais plus par obligation.

Soucieuse de laisser les tâches les plus ingrates et les plus pénible (comme nettoyer les tâches de sang) aux larbins du château, Adelheid entreprît de remettre en ordre les chandelles, bibelots et autres objets du genre. Finalement, le combat avait été si bref et si intense que peu de chose avait eut le temps de tomber ou d'être briser sur le sol.

Il est certain que la jeune fille avait prévu de terminer autrement sa soirée... Elle avait pour habitude de faire des sales besognes... Mais il était particulièrement désagréable pour elle de réaliser ces tâches ménagères alors qu'elle avait participé au combat et à la victoire de son Mentor. Mais qu'importe... On ne lui demandait pas son avis de toute manière... Elle ne pouvait cependant pas s'empêcher de se demander en quoi de telle occupation pouvait l'approcher d'un quelconque statut de "chevalier". Elle n'avait jamais vu Lothar s'occuper de la sorte...

Adelheid se dirigea donc vers les chandeliers, les couverts et autres conneries indispensables aux aristocrates de ce monde. Le chambellan comme le seigneur en restèrent bouche bée.

Ce n'est que lorsque la petite fille se pencha pour ramasser un bougeoir en étain renversé par un des pillards en fuite que Lothar [et Sylas?, s'il le précise dans son prochain post] explosa[èrent] de rire.

Lothar : "AHAH ! Adelheid, détend-toi donc ! Je parlais de nettoyer mes blessures avec un linge propre. Et rien d'autre. Allons, tout le monde dans la bibliothèque. Nous avons besoin d'un remontant."

Et le seigneur embraya le pas en ouvrant la porte. Il invita les gens à pénétrer dans la bibliothèque avant lui.

Lothar souriait.

Sylas esquissa un sourire mais essaya de garder son sérieux.

Lothar : "AHAH ! Adelheid, détend-toi donc ! Je parlais de nettoyer mes blessures avec un linge propre. Et rien d'autre. Allons, tout le monde dans la bibliothèque. Nous avons besoin d'un remontant."

Sylas : "Si monsieur le permet, je vous rejoindrais plus tard. Le temps pour moi d’aller réveiller quelques personnes qui s'affaireront du nettoyage ... Sauf, bien entendu, si Mademoiselle préfère s'en occuper elle-même."

Il s'éloigna en pouffant vers l'aile des domestiques.

La soirée se poursuivit dans une certaine torpeur. Sylas partit réveiller quelques domestiques et leur expliquer leur désagréable tâche à venir, tandis qu'Adelheid s'occupa de panser les blessures de Lothar. Celui-ci grommela dans sa moustache, puis, lorsque Sylas fut revenu, ils burent un verre.

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Le lendemain serait, nécessairement, moins animé que la veille.

Enfin, c'est ce que chacun pensait ...

Lorsque Adelheid pénétra dans le couloir qui séparait l'escalier menant aux chambres des aristocrates de la salle à manger, elle croisa Sylas, qui s'affairait déjà [libre à vous de préciser d'éventuelles têtes dans le cul, un réveil difficile, et ce que vous faîtes].

Soudainement, un serviteur dévala les escaliers à toute vitesse et s'arrêta devant le majordome en le voyant.
Serviteur affolé : "Maître Sylas ! Venez vite ! Le seigneur a des hallucinations ! Il est comme fou !"

Sylas comme Adelheid reconnurent le valet de Lothar.

[Précision : Lothar n'est pas assez riche/important pour avoir un majordome. Il n'a (mais c'est déjà bien) qu'un valet. Néanmoins, il est entré dans la coutume de la maison que Sylas, de rang de majordome, remplit ces fonctions en plus de celles de précepteur d'Adelheid, pendant son séjour au château. De fait, Sylas est donc le "supérieur" de ce valet.]

[Adelheid ne fait absolument rien de spécial avant l'élément perturbateur]

Adelheid avait une mine assez enjoué ce matin là. Surement grâce à la déconfiture qu'ils avaient offert aux malandrins la veille.

Cependant, une matinée qui s'annonçait calme, comme un jour de départ avait l'air de s'annoncer mal !

Serviteur affolé : "Maître Sylas ! Venez vite ! Le seigneur a des hallucinations ! Il est comme fou !"

La petite fille regarda alors Sylas... Comme apeurée et inquiète, des sentiments qu'elle n'avait pas l'habitude de montrer.
"Sylas... Que faisons nous... Je ne sais quoi faire..."

[Sylas ! N'oublie pas de répondre au post, là je ne peux rien relancer ...]

[Mes excuses, j'étais persuadé d'avoir répondu...]

Sylas, l'air soucieux, faisait les cents pas devant la grande porte de la salle à manger. Lorsqu'il aperçut la jeune fille, il l'interpella :
Sylas "Eh bien, ce n'est pas trop tôt ! Allez, pressez-vous un peu, j'ai faits préparer une petite collation, mieux vaut ne pas entreprendre ce voyage le ventre vide."

Il se tourna vers la fenêtre et rajouta :
Sylas : "Vous n'avez pas croisé le Seigneur Lothar ? J'ai envoyé Georges le chercher il y a de cela plusieurs minutes..."

Il eut à peine le temps de finir sa phrase que le valet entra en trombe dans la salle à manger :

Serviteur affolé : "Maître Sylas ! Venez vite ! Le seigneur a des hallucinations ! Il est comme fou !"

Sylas dévisagea le valet pendant quelques instants sans réagir à la question de la jeune fille et finit par hurler :
Sylas : "Mais quel imbécile ! Pourquoi n'y ai-je pas pensé !"

Et commençant à courir vers la chambre de Lothar, il cria à l'adresse d'Adelheid et du valet :
Sylas : "Mademoiselle, venez avec moi ! Georges, partez chercher maitre Baumé, l'apothicaire et décrivez-lui les symptômes, n’omettez aucun détail, la vie de votre seigneur en dépend !"

La mention du père Baumé, ainsi que le village le connaissait, sembla plonger ledit Georges dans un effroi presque palpable. Il balbutia : "L' L' Le père B' B' Baumé ? De q' quoi souffre donc le seigneur ?"

[Discussion enclenchée, donnez-donc du rythme ]

"Ou votre insuffisance !"

Sylas et Adelheid se retournèrent. Ils virent Akshan arriver dans la pièce, qui poursuivit : "Hmm. J'ai vu de l'agitation, je me suis précipité. Je venais prendre nos ordres. Les autres sont prêts. Où est le seigneur Lothar ? Que soupçonnez-vous, majordome ?"

Sylas s'adressa à l'Urza,
Sylas : "Notre seigneur est actuellement dans sa chambre, fiévreux et délirant."

Il ajouta en baissant les yeux,
Sylas : "Je suspecte que ce lâche d'assassin ait préalablement enduit sa lame de poison..."

Puis réalisant qui se tenait devant lui, il demanda avec une lueur d'espoir dans le regard,
Sylas : "Peut-être avez-vous quelques connaissances dans ce domaine, vous que l'on nomme "Génie" ?"

Akshan : "J'ai bien peur que non, malheureusement. Mais alors voir."

Akshan, Sylas et Adelheid s'ébranlèrent vers la chambre du seigneur Lothar et gravirent l'escalier à toute vitesse. Lorsqu'ils arrivèrent au niveau de la porte, ouverte en grand par le valet qui s'en était échappé plus vite que son ombre, ils virent Lothar en grande conversation avec lui même, qui agitait un chandelier avec un air de bretteur :
"MOUAHAH ! Nous revoilà en campagne, mon cher Lothar ! De grandes chevauchées ! Des créatures fantasques et des batailles fantastiques !"

Désemparé par la scène se déroulant sous ses yeux, Sylas se tourna vers l'Urza.

Sylas : "En l'état, je doute que nous arrivions à rentrer en contact avec lui."

Puis en jetant un coup d’œil au seigneur, toujours aux prises avec un ennemi invisible.

Sylas :"Bien sûr, il pourrait nous reconnaître comme ses alliés, mais je n'ai pas vraiment envie de risquer de me faire occire à coup de chandelier."

Il se tourna à nouveau vers ses deux compagnons et ajouta à voix basse :

Sylas : "J'ai éventuellement un plan, mais celui-ci pourrait s'avérer dangereux, autant pour notre Seigneur que pour nous-même. Avant de vous l'exposer, peut-être avez-vous quelque proposition ?"

[J'essaie de voir s'il rayonne pas de magie moi. Pour ça, il me faut le nombre de dés de magie présent dans la zone]